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Nice Joseph Pilates photos

Some cool Joseph Pilates images:

Abbatiale Saint-Gilles à Saint-Gilles-du-Gard
Joseph Pilates
Image by kristobalite
Abbatiale romane Saint-Gilles ; commune de Saint-Gilles-du-Gard, Gard, 30, Languedoc-Roussillon, France

du XIIe siècle classée sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco en même temps que Sainte Trophime d’Arles. L’escalier en colimaçon a donné son nom à ce type d’ouvrage : on désigne par escalier à vis de saint-Gilles un escalier tournant sur lui-même. L’ancienne abbaye conserve ses bâtiments claustraux, à l’exception des parties classées. Ancien cellier, dit salle de Saint-Gilles une partie des vestiges subsistants du cloître. Seule subsiste la remarquable façade orientale dans sa partie basse, abritant les trois portes monumentales, laquelle nécessiterait cependant d’important travaux de restauration, comme cela a été fait à Arles … ). Le reste fut reconstruit, de manière beaucoup plus réduite, aux XVIIe et XVIIIe siècles, après les ravages des guerres de religion.

(extrait de :http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Gilles_%28Gard%29#Lieux_et_monuments)

Ce monastère est construit au VIIe siècle, initialement dédié à saint Pierre et saint Paul, puis au IXe siècle à saint Gilles, un ermite local. Ses reliques, conservées dans l’église abbatiale, en font un important lieu de pèlerinage sur la via Tolosane vers Saint Jacques de Compostelle. À la fin du XIe siècle, sous l’influence du pape Grégoire VII, le monastère de Saint-Gilles est rattaché à Cluny. Il connait, en ce temps-là, une période de grande prospérité. Cette protection et les reliques assurant de bons revenus à la communauté, un projet de construction d’une nouvelle église est alors lancé. Ce chantier se déroule essentiellement au XIIe siècle, époque à laquelle est sculptée la façade, tandis que les derniers travaux ne sont achevés que bien plus tard (le transept au XIVe siècle et le clocher au XVe siècle). L’église, dévastée en 1562 par les huguenots, souffre des guerres de religion. Elle subit une restauration et une finition sommaire au XVIIe siècle, puis une nouvelle restauration plus générale des monuments entre 1842 et 1868. Le tombeau de saint Gilles ne sera redécouvert qu’en 1865. Le pèlerinage, quant à lui, ne reprendra que plus tardivement, en 1965. Depuis 1998, la façade de l’abbatiale est inscrite au Patrimoine mondial de l’UNESCO, au titre d’étape sur les Chemins français de Saint-Jacques de Compostelle.

La façade

A l’instar d’autres édifices religieux romans, la façade de l’abbaye de Saint-Gilles peut être considérée comme un véritable « livre de pierre » à destination des fidèles, souvent illettrés à l’époque de son édification. Réalisée par les moines de l’abbaye entre 1120 et 1160 (40 ans de travaux à elle seule), la façade demeure un chef d’œuvre reconnu d’art roman provençal et ce malgré ses nombreuses détériorations. Elle offre un programme riche et varié :
* Registre inférieur : bestiaire, nombreuses scènes de l’Ancien testament.
* Registre médian : statues et personnages du Nouveau testament.
* Frise : scènes inspirées du Nouveau testament (lavement des pieds du Christ).
* Tympans : chacun d’entre eux retrace une étape majeure de la vie du Christ (adoration des mages, crucifixion, majesté).
Les éléments architecturaux de décoration sont quant à eux inspirés de l’art antique : chapiteaux corinthiens, soubassement cannelé, oves et centaures…
Notons que la complexité de cette façade réside essentiellement dans la multiplicité de ses inspirations (romane, antique, orientale).

L’ancien chœur

Les ruines de l’ancien chœur offrent une perspective saisissante de ce que fut l’abbatiale du XIIe au XVIe siècle : on peut notamment observer l’épaisseur des murs d’époque ainsi que la structure des trois nefs qui ont été brusquement « tronquées ». Cette impression de gigantisme s’accentue lorsque l’on sait que la longueur originale de l’abbaye était de 98 mètres, contre moins de 50 aujourd’hui. Dans l’abside, tout autour du déambulatoire semi-circulaire, l’on trouve cinq petites chapelles rayonnantes. Au centre du chœur se tient l’autel et la statue du pape Clément IV, natif de Saint-Gilles, ajoutée tardivement. Près de la Vis demeurent un pilier roman ainsi qu’un demi œil-de-bœuf, relativement bien conservés.

L’escalier à vis

La célèbre Vis de Saint-Gilles présente une œuvre architecturale unique pour son époque. Elle se présente sous la forme d’une structure hélicoïdale, ou « en colimaçon ». Ironie du sort : au XIIe siècle, cet escalier n’était en réalité qu’un simple escalier de service, probablement utilisé par les moines afin de se rendre dans les combles de l’église et atteindre le campanile.

(extrait de :http://fr.wikipedia.org/wiki/Abbatiale_de_Saint-Gilles-du-Gard)

Pour une description plus détaillée du programme iconographique de la façade de Saint-Gilles : nimes.catholique.fr/fiche_patrimoine.php?ID=4

Abbatiale Saint-Gilles à Saint-Gilles-du-Gard
Joseph Pilates
Image by kristobalite
Abbatiale romane Saint-Gilles ; commune de Saint-Gilles-du-Gard, Gard, 30, Languedoc-Roussillon, France

du XIIe siècle classée sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco en même temps que Sainte Trophime d’Arles. L’escalier en colimaçon a donné son nom à ce type d’ouvrage : on désigne par escalier à vis de saint-Gilles un escalier tournant sur lui-même. L’ancienne abbaye conserve ses bâtiments claustraux, à l’exception des parties classées. Ancien cellier, dit salle de Saint-Gilles une partie des vestiges subsistants du cloître. Seule subsiste la remarquable façade orientale dans sa partie basse, abritant les trois portes monumentales, laquelle nécessiterait cependant d’important travaux de restauration, comme cela a été fait à Arles … ). Le reste fut reconstruit, de manière beaucoup plus réduite, aux XVIIe et XVIIIe siècles, après les ravages des guerres de religion.

(extrait de :http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Gilles_%28Gard%29#Lieux_et_monuments)

Ce monastère est construit au VIIe siècle, initialement dédié à saint Pierre et saint Paul, puis au IXe siècle à saint Gilles, un ermite local. Ses reliques, conservées dans l’église abbatiale, en font un important lieu de pèlerinage sur la via Tolosane vers Saint Jacques de Compostelle. À la fin du XIe siècle, sous l’influence du pape Grégoire VII, le monastère de Saint-Gilles est rattaché à Cluny. Il connait, en ce temps-là, une période de grande prospérité. Cette protection et les reliques assurant de bons revenus à la communauté, un projet de construction d’une nouvelle église est alors lancé. Ce chantier se déroule essentiellement au XIIe siècle, époque à laquelle est sculptée la façade, tandis que les derniers travaux ne sont achevés que bien plus tard (le transept au XIVe siècle et le clocher au XVe siècle). L’église, dévastée en 1562 par les huguenots, souffre des guerres de religion. Elle subit une restauration et une finition sommaire au XVIIe siècle, puis une nouvelle restauration plus générale des monuments entre 1842 et 1868. Le tombeau de saint Gilles ne sera redécouvert qu’en 1865. Le pèlerinage, quant à lui, ne reprendra que plus tardivement, en 1965. Depuis 1998, la façade de l’abbatiale est inscrite au Patrimoine mondial de l’UNESCO, au titre d’étape sur les Chemins français de Saint-Jacques de Compostelle.

La façade

A l’instar d’autres édifices religieux romans, la façade de l’abbaye de Saint-Gilles peut être considérée comme un véritable « livre de pierre » à destination des fidèles, souvent illettrés à l’époque de son édification. Réalisée par les moines de l’abbaye entre 1120 et 1160 (40 ans de travaux à elle seule), la façade demeure un chef d’œuvre reconnu d’art roman provençal et ce malgré ses nombreuses détériorations. Elle offre un programme riche et varié :
* Registre inférieur : bestiaire, nombreuses scènes de l’Ancien testament.
* Registre médian : statues et personnages du Nouveau testament.
* Frise : scènes inspirées du Nouveau testament (lavement des pieds du Christ).
* Tympans : chacun d’entre eux retrace une étape majeure de la vie du Christ (adoration des mages, crucifixion, majesté).
Les éléments architecturaux de décoration sont quant à eux inspirés de l’art antique : chapiteaux corinthiens, soubassement cannelé, oves et centaures…
Notons que la complexité de cette façade réside essentiellement dans la multiplicité de ses inspirations (romane, antique, orientale).

L’ancien chœur

Les ruines de l’ancien chœur offrent une perspective saisissante de ce que fut l’abbatiale du XIIe au XVIe siècle : on peut notamment observer l’épaisseur des murs d’époque ainsi que la structure des trois nefs qui ont été brusquement « tronquées ». Cette impression de gigantisme s’accentue lorsque l’on sait que la longueur originale de l’abbaye était de 98 mètres, contre moins de 50 aujourd’hui. Dans l’abside, tout autour du déambulatoire semi-circulaire, l’on trouve cinq petites chapelles rayonnantes. Au centre du chœur se tient l’autel et la statue du pape Clément IV, natif de Saint-Gilles, ajoutée tardivement. Près de la Vis demeurent un pilier roman ainsi qu’un demi œil-de-bœuf, relativement bien conservés.

L’escalier à vis

La célèbre Vis de Saint-Gilles présente une œuvre architecturale unique pour son époque. Elle se présente sous la forme d’une structure hélicoïdale, ou « en colimaçon ». Ironie du sort : au XIIe siècle, cet escalier n’était en réalité qu’un simple escalier de service, probablement utilisé par les moines afin de se rendre dans les combles de l’église et atteindre le campanile.

(extrait de :http://fr.wikipedia.org/wiki/Abbatiale_de_Saint-Gilles-du-Gard)

Pour une description plus détaillée du programme iconographique de la façade de Saint-Gilles : nimes.catholique.fr/fiche_patrimoine.php?ID=4

Abbatiale Saint-Gilles à Saint-Gilles-du-Gard
Joseph Pilates
Image by kristobalite
Abbatiale romane Saint-Gilles ; commune de Saint-Gilles-du-Gard, Gard, 30, Languedoc-Roussillon, France

du XIIe siècle classée sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco en même temps que Sainte Trophime d’Arles. L’escalier en colimaçon a donné son nom à ce type d’ouvrage : on désigne par escalier à vis de saint-Gilles un escalier tournant sur lui-même. L’ancienne abbaye conserve ses bâtiments claustraux, à l’exception des parties classées. Ancien cellier, dit salle de Saint-Gilles une partie des vestiges subsistants du cloître. Seule subsiste la remarquable façade orientale dans sa partie basse, abritant les trois portes monumentales, laquelle nécessiterait cependant d’important travaux de restauration, comme cela a été fait à Arles … ). Le reste fut reconstruit, de manière beaucoup plus réduite, aux XVIIe et XVIIIe siècles, après les ravages des guerres de religion.

(extrait de :http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Gilles_%28Gard%29#Lieux_et_monuments)

Ce monastère est construit au VIIe siècle, initialement dédié à saint Pierre et saint Paul, puis au IXe siècle à saint Gilles, un ermite local. Ses reliques, conservées dans l’église abbatiale, en font un important lieu de pèlerinage sur la via Tolosane vers Saint Jacques de Compostelle. À la fin du XIe siècle, sous l’influence du pape Grégoire VII, le monastère de Saint-Gilles est rattaché à Cluny. Il connait, en ce temps-là, une période de grande prospérité. Cette protection et les reliques assurant de bons revenus à la communauté, un projet de construction d’une nouvelle église est alors lancé. Ce chantier se déroule essentiellement au XIIe siècle, époque à laquelle est sculptée la façade, tandis que les derniers travaux ne sont achevés que bien plus tard (le transept au XIVe siècle et le clocher au XVe siècle). L’église, dévastée en 1562 par les huguenots, souffre des guerres de religion. Elle subit une restauration et une finition sommaire au XVIIe siècle, puis une nouvelle restauration plus générale des monuments entre 1842 et 1868. Le tombeau de saint Gilles ne sera redécouvert qu’en 1865. Le pèlerinage, quant à lui, ne reprendra que plus tardivement, en 1965. Depuis 1998, la façade de l’abbatiale est inscrite au Patrimoine mondial de l’UNESCO, au titre d’étape sur les Chemins français de Saint-Jacques de Compostelle.

La façade

A l’instar d’autres édifices religieux romans, la façade de l’abbaye de Saint-Gilles peut être considérée comme un véritable « livre de pierre » à destination des fidèles, souvent illettrés à l’époque de son édification. Réalisée par les moines de l’abbaye entre 1120 et 1160 (40 ans de travaux à elle seule), la façade demeure un chef d’œuvre reconnu d’art roman provençal et ce malgré ses nombreuses détériorations. Elle offre un programme riche et varié :
* Registre inférieur : bestiaire, nombreuses scènes de l’Ancien testament.
* Registre médian : statues et personnages du Nouveau testament.
* Frise : scènes inspirées du Nouveau testament (lavement des pieds du Christ).
* Tympans : chacun d’entre eux retrace une étape majeure de la vie du Christ (adoration des mages, crucifixion, majesté).
Les éléments architecturaux de décoration sont quant à eux inspirés de l’art antique : chapiteaux corinthiens, soubassement cannelé, oves et centaures…
Notons que la complexité de cette façade réside essentiellement dans la multiplicité de ses inspirations (romane, antique, orientale).

L’ancien chœur

Les ruines de l’ancien chœur offrent une perspective saisissante de ce que fut l’abbatiale du XIIe au XVIe siècle : on peut notamment observer l’épaisseur des murs d’époque ainsi que la structure des trois nefs qui ont été brusquement « tronquées ». Cette impression de gigantisme s’accentue lorsque l’on sait que la longueur originale de l’abbaye était de 98 mètres, contre moins de 50 aujourd’hui. Dans l’abside, tout autour du déambulatoire semi-circulaire, l’on trouve cinq petites chapelles rayonnantes. Au centre du chœur se tient l’autel et la statue du pape Clément IV, natif de Saint-Gilles, ajoutée tardivement. Près de la Vis demeurent un pilier roman ainsi qu’un demi œil-de-bœuf, relativement bien conservés.

L’escalier à vis

La célèbre Vis de Saint-Gilles présente une œuvre architecturale unique pour son époque. Elle se présente sous la forme d’une structure hélicoïdale, ou « en colimaçon ». Ironie du sort : au XIIe siècle, cet escalier n’était en réalité qu’un simple escalier de service, probablement utilisé par les moines afin de se rendre dans les combles de l’église et atteindre le campanile.

(extrait de :http://fr.wikipedia.org/wiki/Abbatiale_de_Saint-Gilles-du-Gard)

Pour une description plus détaillée du programme iconographique de la façade de Saint-Gilles : nimes.catholique.fr/fiche_patrimoine.php?ID=4

Nice Joseph Pilates photos

Some cool Joseph Pilates images:

Pilates classes help keep European military communities fit – FMWRC – US Army – 100924
Joseph Pilates
Image by familymwr
PHOTO CAPTION: Stasia Bryant, Pilates instructor for Heidelberg Sports and Fitness assists one of her students, Yuko Daniels during a Pilates class in Heidelberg, Germany. The Family, Morale, Welfare and Recreation class is just one of many offered to help keep Soldiers, families and civilians fit to fight. (Photo by Dijon Nichelle Rolle, USAG Baden-Wurttemberg, cleared for public release, not for commercial use, attribution requested.)

www.armymwr.com

Pilates classes help keep European military communities fit

Sep 24, 2010

By Dijon Rolle, USAG Baden-Wuerttemberg Public Affairs

HEIDELBERG, Germany — Tucked away inside the Patrick Henry Village Activity Center in Heidelberg a small group gathered, its members armed with long swathes of purple or lime green stretchy material.

Their teacher, Stasia Bryant, led them through a series of simple exercises using brightly-colored resistance bands while she shared a few jokes to break the ice and keep her students encouraged along the way.

Bryant is a Pilates instructor and the first class of her fall session was full of new faces like Yuko Daniels, who admits she signed up for the class to help her stay committed to her exercise routine despite a busy home life.

"If I tried to do this on my own, I think it would be hard for me. I would probably do it once or twice and then stop, but coming here will help keep me accountable," Daniels said.

Accountable indeed, as Bryant focused her 19 years of ballet training and eight years of Pilates teaching experience into making sure each student used the proper technique. Earlier in her career she danced throughout the United States and Europe, most recently here in the Roadside Theater’s production of "Cats."

With a gentle hand and warm demeanor, the Colorado native carefully inspects and corrects each one of her student’s form with razor-sharp precision during the weekly sessions.

"Inhale … shoulders up," Bryant said.

Bryant has taught Pilates in Heidelberg four times a week for the past four years and her passion for it, and overall commitment to helping her students improve their physical fitness is evident.

"I love it. I enjoy teaching, and I love people," she said. "I hope to be doing this forever."

Pilates is a physical fitness system developed in the early 20th century by the late Joseph Pilates. It was primarily used by athletes and dancers before gaining mainstream popularity several years ago.

Pilates can be practiced using different specially designed apparatuses or with mats and props such as exercise balls, foam rollers, rotating disks and resistance bands as Bryant’s class does.

"Pilates uses all the core muscles, which does not necessarily mean just the abdominals; it uses the core of every muscle. We work on first stability, then go out from there," Bryant said.

Her hour -long class stresses the important principles of proper alignment, breathing and control – all of which the mother of two credits for her own improved health.

"After I had my children and was teaching ballet so much, I had a lot of lower back pain, and one of my ballet teachers started teaching Pilates. That’s how we would start every ballet class and … it really was unbelievable. I really would wake up in the morning with no lower back pain at all," Bryant said.

"Not everyone can do ballet and dance, and you can’t do it forever, but Pilates is something that everyone can do," the instructor said.

Bryant said Pilates is an especially good form of exercise for new mothers, people with back problems and anyone seeking to improve their flexibility and posture or recovering from an injury.

The class can also help with toning and overall fitness and also is suitable for all age groups and fitness levels.

"I just wanted to get back into shape … I was a dancer before and I’ve done aerobics for years, but I wanted to try something new. It’s hard but I love it. I noticed my flexibility and posture improved and I feel stronger," said Allison Grover, a student in the class. Grover’s husband is a member of the Canadian Army and the couple is stationed in Heidelberg.

Bryant said many people confuse Pilates with Yoga or are intimidated after seeing some of the exercises. "One thing is people think they have to have flexibility to come in; that’s pretty irreverent. They think it’s a lot like Yoga. Totally different system then Yoga … and it’s an entirely different exercise program. Some of the exercises look the same but they are done differently and it’s nothing like Yoga."

Pilates and other regular fitness classes are offered through the Family and Morale, Welfare and Recreation’s Sports and Fitness Office.

The classes give Soldiers, civilians and family members an opportunity to enhance their physical fitness as part of the Comprehensive Community Fitness program.

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mother and son practice pilates for pregnancy – _MG_2985.JPG
Joseph Pilates
Image by sean dreilinger
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they’re working out in front of the television, following along with pilates for pregnancy.

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How did Joseph pilates’ “workout” get started?

Question by R C: How did Joseph pilates’ “workout” get started?

Best answer:

Answer by Philippmikio
Pilates was a German who went to spent many years in an English prison during WWII. During this time, he started to develop his technique inside his cell. He started teaching it to the other prisoners. A devastating influenza devastated the world at that time, killing about 50 million people. None one of the prisoners died while the guards became sick. The guards too started to learn the technique of Pilates. Pilates later met Max Schmelling, a German boxer and went with him to the US where he developed his technique further and trained Schmelling.

Hope that this helps 😉

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